Je pense que j'aurais voulu l'aimer... mon feeling c'est que ça a mal vieilli. C'était peut-être ça qui était considéré edgy dans les années woodstock au Québec.
Prétentieux, saturé, over-the-top. Et c'est plutôt bien comme ça. Par contre, quand l'auteur dérape dans un fil narratif pédant sans queue ni tête, c'est agaçant. Masturbatoire. Pardon, lisez plutôt "onanisme nombriliste", parce que c'est davantage dans l'esprit du livre.Mais je donne 3 étouèlles parce que j'ai été tout de même un peu entertainé.
Ce livre ne serait pas si mauvais, à mes yeux, si le langage employé par les personnages québécois de ce roman était quelque chose qui ressemblait au québécois.Je me fous si M. Barbe veut vendre ses livres aux Français. Il m'en fera pas lire d'autres, ça c'est sûr!
Dans l'océan des histoires de l'Holocauste, s'il y a un seul livre que je recommanderais sans hésiter, c'est celui-ci. Pas faussement larmoyant, touchant, vrai. Un peu lancinant et déprimant à la fin, mais c'est comme la vie.
What a mess. Dire que le premier livre était tellement bon; un Harry Potter plus intello. Ça finit en délire hippie confus et incohérent. Oh well. Un jour je ferais un spoof du troisième livre (Amber Spyglass).
OH GOD WHY... Pourquoi je me fais autant de mal? Même dans une toilette sans rien d'autre à lire, ça serait horrible. En ebook (gratuit, thank jeebus) c'est de la pure torture. L'information inutile est elle-même très souvent fausse, ou incroyablement datée. Quelqu'un pourrait arranger au hasard des bouts de wikipedia et ça donnerait quelque chose de plus fiable. Est-ce que j'ai encore des cellules qui fonctionnent? Une capacité de jugement critique? Arrgh!
Seulement le deuxième livre de la série et j'ai déjà l'impression de les avoir tous lus. Pff. D'un côté c'est du fantastique très old school, assez simpliste. Ça me rappelle les livres de Conan le Barbare que je lisais adolescent. Par ailleurs, Gor, c'est pas très politiquement correct, et par là je veux plutôt dire que c'est sexiste. Naaa, c'est TRÈS sexiste. Je pensais que je trouverais ça drôle/ironique, comme de lire le National Post ou bien écouter Sun News. Mais pas vraiment, la misogynie ambiante est idiote et franchement horrible. C'est juste pas drôle... pas sûr de continuer la série longtemps!Mais bon, c'est comme du junk food: mauvais pour toi, mais sans trop savoir pourquoi, t'en redemandes...
Ce livre est magique.Aussi réconfortant que la soupe aux pois de mon défunt grand-père (et tout aussi vieux-jeu). Chaque phrase est travaillée et retravaillée... Ok, la prose de Bradbury n'est peut-être pas pour tout le monde - tant de fioritures! - mais moi je suis absolument conquis. Il faut juste abandonner momentanément notre identité d'adulte blasé... et se rappeler nos 12 ans. PS: Evil Clowns. That is all.
Un petit livre amusant, satirique et caricatural mais assez faible au niveau de la cohérence ou du réalisme (des scènes ou des personnages...)Je comprends juste pas le prix Booker (2003). Ça doit être de l'humour british pour se moquer des Américains!
This is an interesting historical review of various political economies, with a special focus on ex-socialist countries and Marxist theories. It often loses focus, though... the 'models' aren't developed in much detail. And the whole book feels very dated...
Je ne lis pas beaucoup de litt. québécoise, mais j'ai tenté ce livre chez mes parents, à Noël. Ce qui m'exaspère trop souvent chez les auteurs québécois, c'est qu'on ne reconnait pas le langage (ça fait 'fake' komme kon dit.. tousse tousse Jean Barbe tousse). Je suis heureux d'annoncer qu'au moins ce livre passe *presque* le test de ce point de vue... D'un côté, il y a beaucoup d'éléments qui me plaisent: un genre de Michel Tremblay slash Le Matou slash Oliver Twist à Limoilou. Mais il y a une grosse dichotomie entre les dialogues à la Tremblay et la narration - d'un bord on a le gros québécois sale qu'on aime, de l'autre il y a un français très riche, un peu franco-franchouillard, un tantinet "as-tu vu la qualité de ma langue", beaucoup trop rempli de métaphores... par bouts ça fait "purple prose". Du lyrisme qui nous distrait de l'histoire, c'est pas brillant, c'est juste du surplus qui nous fait rouler les yeux dans le crâne telle une pauvre et chétive victime des chambres à gaz de la cruelle Allemagne nazie (preuve par illustration). Sinon, l'histoire demeure touchante... plusieurs personnages sont très bien développés (le père, Roger) bien que l’héroïne soit une parfaite Mary Sue. Enfin, ceux qui ont grandi dans les années '80 et '90 seront souvent emplis de nostalgie... et auront le thème de Lady Oscar pogné dans la tête pendant des jours!
This is the very famous "worst book of all time". It's not a parody, but a horrible copy of Conan the Barbarian done by a teenager. It's amazingly hilarious, so unbelievably bad it turns out to be a great experience! Story too short, though. We demand MOAR!
*sigh* Well, this dissertation is not going to write itself, is it? This book has, beyond its patronizing tone, some good commonsensical ideas. However I have no common sense. And Dunleavy didn't stop me being a lazy-ass, either (not that I thought he could!)
When I first arrived in Colombia, more than 10 years ago, I didn't speak much spanish. People would ask me "Estas bien?" and I would answer "Esta bien"... you've seen the type, clueless young white North American, lucky to stay alive in such a context. That was I. This Escobar biography was the very first book that I read in espagnol. It wasn't great, and my local friends would make faces every time they saw this particular book (to compare, imagine a foreigner in Quebec reading a Céline Dion biography...ugh) But I chose this book on purpose... I thought it would be somewhat dumb, VERY easy to read, perfect for Clueless French Canadian Me. And boy, did I learn spanish in the 6 months I spent in Cali, Colombia, in the year 2001. My favorite country ever.
Mon grand frère Fred, anglophile suprême, a toujours cherché à me faire lire en anglais... à ça a commencé vers 1989-90 quand j'avais +- 12 ans. Avec ce livre là. Merci Fred, maintenant je suis un vrai anglophile comme toé. Pour, pour ce qui est du livre comme tel, c'est une histoire pour enfants et je me rappelle que je l'avais trouvée un peu boboche - avec un peu de romance quétaine d'ado - mais le texte était parsemé de mots/d'expressions francophones, ce qui pourrait peut-être encourager certains enfants ou adolescents à finir un premier roman en anglais...Pour le reste, selon mes souvenirs de l'époque... M'eh!